The most beautiful place - stunning vintage interior, lovely pavement tables and the nicest waiting staff. And the food!!!! Sublime. Would thoroughly recommend. 10* not 5.
Un lieu sympathique, mais sans grandes surprises.
Une cuisine simple et bien faite.
Une carte des vins avec des prix un peu trop poussés ( pas toujours justifié).
Un endroit pour se detendre entre amis.
Dans la partie sud du 11e arr. de Paris, le quartier Sainte-Marguerite est un quasi-triangle délimité par la rue de Charonne, la rue du Faubourg-Saint-Antoine et le boulevard de Charonne. C’est au restaurant « Le Bistrot du Peintre », au 116 avenue Ledru-Rollin, que je me rends pour admirer l’authenticité de la déco très « Art nouveau » en staff et en céramique d’une brasserie créée en 1902, à 10 min. à pied de la place de la Bastille, à la lisière du quartier Roquette. On ne va pas se mentir, j’y vais aussi pour y faire quelques agapes.
L’ambiance est estivale et populaire, un Ricard bien frais en apéritif me rince aimablement la dalle.
Pour la suite, ce sera un bourgogne, à savoir un givry Joseph Drouhin 2022. On est sur un cépage pinot noir rond et fruité qui se marie élégamment avec mes œufs bio, mayonnaise au curry, chips d’oignon et pousses de roquette (en référence au quartier limitrophe ?). J’aime la présentation en cassolette de métal et sa petite tuile.
Servie sur planche à découper, la côte de cochon du Cantal élevé en plein air (400 g), sauce barbecue et son aligot maison est tendre et d’une belle jutosité, l’aligot est réconfortant sans être bourratif. Je passe un très bon moment.
En dessert, entre tartes, baba et fondant au chocolat, je choisis finalement la belle pavlova aux fruits rouges (sic). C’est la pleine saison des myrtilles, framboises et mûres (le temps de la mûre, le temps des copains et de l’aventure) qui s’accordent à merveille avec les quelques gouttes de givry ayant survécu.
Une addition de 70 € pour une adresse à conseiller sur le chemin qui menait autrefois de Paris au village de Charonne.
